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La Russie, pionnière dans le rapatriement des enfants de jihadistes - Courrier International (Sun, 17 Feb 2019)
La Russie, dont les citoyens ont fourni l'un des plus gros contingents de combattants du groupe Etat islamique, s'évertue de longue date à rapatrier les enfants et parfois les femmes des jihadistes, après avoir tout fait pour "tuer sur place" ces derniers. Avec les défaites subies par l'organisation jihadiste, aujourd'hui acculée dans une dernière poche de l'est syrien et en passe d'être vaincue, le retour des familles de combattants est devenu un casse-tête auquel sont confrontés de nombreux pays. Moscou a, pour sa part, organisé les premiers retours massifs il y a un peu plus d'un an. Dernier en date, début février, un avion Iliouchine-76 du ministère russe des Situations d'urgence s'est posé à l'aéroport Ramenskoïe, non loin de Moscou, et débarqué devant les caméras de télévision 27 enfants dont les mères sont détenues dans des prisons irakiennes pour leur appartenance présumée à l'EI. Âgés de 4 à 13 ans, beaucoup d'entre eux n'ont jamais connu le froid hivernal de la capitale russe, étant nés dans les territoires sous contrôle de l'organisation jihadiste ou emmenés en Irak et en Syrie par leurs parents alors qu'ils étaient encore en bas âge. Ces filles et garçons doivent passer à leur retour une série d'examens médicaux avant d'être remis à des membres de leurs familles: des oncles, des tantes, des grands-parents, la plupart originaires des républiques russes à majorité musulmane du Caucase. "Ils vont à l'école et au jardin d'enfants. Des volontaires travaillent et discutent avec eux de ce qu'ils ont traversé et leur expliquent comment ils ont été endoctrinés", raconte Kheda Saratova, l'une des conseillères du dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, au coeur du dispositif russe de rapatriement des familles de jihadistes. - Femmes, enfants et repentis -

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VIDÉO - Russie : une neige noire et toxique inquiète les internautes - RTL.fr (Sun, 17 Feb 2019)

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A la conférence de Munich, Lavrov se félicite d'une Russie «mieux écoutée» - RT en français (Sun, 17 Feb 2019)

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La Russie en perte de contrôle sur ses anciens satellites 23 - Le Monde (Fri, 15 Feb 2019)
Lorsque Nikol Pachinian s’est avancé vers son hôte, l’accueil a été un peu frais. « Alors, vous êtes venu à pied jusqu’à Sotchi ? », l’a toisé Vladimir Poutine. Ce 14 mai 2018, le chef du Kremlin recevait pour la première fois, sur les bords de la mer Noire, le nouveau dirigeant arménien. Après plusieurs semaines de manifestations dans son pays, qu’il a parcouru à pied, en baskets, pour rallier la population dans son combat contre la corruption, il est arrivé au pouvoir une semaine auparavant. Le pire des scénarios aux yeux de Moscou. Les deux hommes ont su s’adapter. Le président russe n’a pas cherché à interférer dans la « révolution de velours » qui a emporté, à Erevan, l’ancien régime installé depuis des décennies et avec lequel Moscou entretenait des liens étroits. Trop risqué, après l’Ukraine. De son côté, l’ex-opposant arménien, âgé de 43 ans, a pris soin de rassurer son interlocuteur en fournissant des gages de bonne volonté. Alors qu’il était encore en période de transition, le gouvernement fraîchement formé par Nikol Pachinian a ainsi envoyé 100 militaires en Syrie, s’attirant au passage l’attention sourcilleuse des Etats-Unis.


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Modernisation du système russe d’alerte aux missiles: l’armée fournit des détails - Sputnik France (Sun, 17 Feb 2019)

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Hockey sur glace : la Russie rêve de Paris - Franceinfo (Sun, 17 Feb 2019)

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Face aux Etats-Unis, à la Russie et la Chine, l'Europe sort les griffes - Le Journal du dimanche (Sat, 16 Feb 2019)

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«Indice de richesse»: ce fruit est-il accessible uniquement aux riches en Russie? - Sputnik France (Sun, 17 Feb 2019)

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Moyen-Orient : États-Unis, Russie, chacun son sommet - Boulevard Voltaire (Sun, 17 Feb 2019)

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